Elle glissa sa main droite dans ma chemise ouverte Et posa sur mon cou un long baiser brûlant, Je sentis tout d’un coup qu’elle m’était offerte Et qu’enfin je pourrai devenir son amant.
Amant de circonstance pis-aller d’occasion, Mais la belle bougresse en valait bien la peine Elle en était sevrée des intimes effusions, Depuis des mois entiers, ma belle Madeleine.
Elle s’offrait à moi, la charmante hétaïre, Courtisane et amante, elle savait s’y prendre, Etoile d’un moment, elle voulait m’éblouir, Je n’attendais que ça de ma belle Cassandre.
Après de longs baisers et de douces caresses, Elle s’allongea sur moi et je sentis ses seins, Parcourir tout mon corps, de larges arabesques, Voluptueusement jusqu’au creux de mes reins.
De sa bouche, de sa langue, puis des mains et des seins, Elle se fit désirer, si bien que mon pénis, Guilleret et joyeux, se laissa prendre en mains Puis en bouche goulue, par ma tendre « nourrice ».
D’un petit mouvement j’obtenais qu’elle tourne Son bassin vers ma bouche pour m’offrir sa toison, Et son sexe accueillant pour que ma langue l’enfourne, Et caresse en montant son tout petit bouton
Je tremblais de bonheur sous ses assauts buccaux, C’en était un délice, je la sentais vibrer, D’ondes de volupté, de petits cris d’oiseaux, Mes mains fouillaient ses fesses et sa chute cambrée.
Elle se leva d’un coup et voulut s’emparer Du sexe en érection que je lui présentais, De ses deux doigts agiles, elle le fit entrer Dans son ventre tout chaud comme un abri douillet.
Comm’ pour me dominer elle me chevauchait, Contractant son vagin, elle ondulait le corps, Exquises sensations, agréables excès, Ma charmante compagne en demandait encore
Je voulais qu’ell’ parvienne à se faire jouir, Ses mains me caressaient et d’un coup je sentis, Une accélération du rythme des soupirs Et des cris ponctuant le bonheur assouvi.
Elle s’écroula sur moi me couvrant de baisers Prodiguant avec soin d’opportunes caresses Je jouissais enfin d’un assaut épuisé J’embrassais Madeleine mon amante et bougresse
Jean-Charles Theillac
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Dis donc PAPI,tu es encore vert et pour un début dans la prose érotique, c’est un COUP de
maitre….bravo, continue….tant que j’y pense,donne moi l’adresse de Madeleine!!!!!
Amitiés et @+
Salut Jean-Charles, je vois que tu ne perds pas la main si on peut dire puisque c’est un essai!! Pour moi il est transformé!! C’est bien du JCT, pas de doute!!
Continue à nous régaler de la sorte!
Merci
@+
J’ai lu vos poemes, quelle chance de savoir si bien écrire .je trouve que vos poêmes érotiques sont remplis de passion et de délicatesse ,ils ne sont pas vulgaire. bravo . Moi, je m’esprime dans la peinture ,Je vs invite a visiter mon site .www.aufeminin.com/mon-espace/mcpoletti.
Mon Blog(fermaton.over-blog.com),No-1.- THÉORÈME GALOIS.- JE T’EMBRASSE AVEC EFFUSION.