Sonnet d’année

  … à Irène Frachon


Qu’ils soient bons ou meilleurs, les vœux sont échangés,
Sincères ou timorés, ardents ou légitimes.
Ils doivent contenir néanmoins, immergé,
Le parfum émanent des richesses intimes.


Vers qui vœu va, il va. De qui vœu vient, revient.
La pensée ambitionne,  transcende l’incertain
Pour le rendre possible et embellir le lien
Invisible et ténu, des vœux vers un destin.

Regain de volonté de nature vagabonde,
Cette année verra l’ombre d’une résurrection.
Une douce pagaille, fondatrice et féconde,

Élan revigoré vers une rédemption,
Aubaine salvatrice, riche en étrangetés.
A l’aube de ce jour, bonne année, bonne santé !

Jean-Charles Theillac

 

Je dédie ce poème à Madame Irène FRACHON,
médecin pneumologue au CHU de Brest, sans qui,
ce sonnet n’aurait pas lieu d’être.