Colibris, à l’abri !

 

 

 

Radote mon ami, redonne-nous encor’
Maximes et conseils sur l’homme et ses faiblesses.
Victime de lui-même et de ses anticorps
Qui polluent la Terr’-Mèr’ de toutes ses bassesses.


Radote mon ami, à demander encore
S’il y a une vie de l’Homme avant la mort
Qui détruit la nature et la terre qu’il abhorre
À vouloir les soumettre à son funeste sort.


Radote mon ami. Convivialisateur
De la planète entière. Tu exaltes l’amour
De la raison rendue ainsi que ses valeurs


Confisquées par la vie, bafouées pour toujours.
Radotes encore l’ami, la part de colibri
Que tu nous apportes, mettons-la à l’abri.


Jean-Charles Theillac