Adieu l’Abbé


 

Le jour de ses obsèques, de grands esprits ont lu

D’élogieuses et savant’s louanges à son encontre.

Je ne peux donc avoir, pas de malentendu,

L’insolente superbe de vouloir aller contre

C’est au petit matin d’un jour si ordinaire

Que tu t’en allé rejoindre ton Seigneur.

Tu consacras ta vie à tous les pauvres hères,

Et construisis des lieux où régnait la chaleur.

La chaleur de ton cœur, ton regard et tes yeux,

Ne  pouvaient pas cacher, ton amour pour les Hommes.

Ton Verbe était si juste, quand tu parlais de Dieu

Que le peuple écoutait, n’y mêlant pas l’opium.

Tu portais ton symbole partout où tu allais,

Tu savais profiter des micros, des télés.

Les médias pour ton œuvre, ouvraient grand leur Palais,

Et tu y rayonnais comme un astre étoilé.

Maintenant que tu sais où tu es arrivé

Dans la grande Lumière, près de l’Etre éternelle,

Reposes toi enfin d’une vie achevée,

Et met les malheureux sous ta sainte tutelle.

Jean-Charles Theillac